En avril, Finance et Investissement s’attarde aux femmes et à leur rapport avec l’argent. Du congé de maternité de la cliente à celui de sa conseillère, nos journalistes traiteront d’un large éventail de sujets touchant les femmes et les services financiers.
30 avril 2013FEMMES ET SERVICES FINANCIERS – Pour une conseillère, un congé de maternité peut avoir des conséquences négative sur le développement de ses affaires. Pour minimiser celles-ci, la solution est parfois de travailler à temps partiel tout en s'occupant de son enfant, selon des représentantes.
FEMMES ET SERVICES FINANCIERS – Comme conseillère, si vous songez à prendre un congé de maternité, attendez-vous d'abord à gérer les attentes des clients et, au moment de votre retour, à redoubler d'effort afin de retrouver votre vitesse de croisière.
FI TV - En 2013, l'Association des femmes en finance du Québec (AFFQ) souhaite rejoindre davantage la relève et planifie plusieurs projets en ce sens, comme l'a expliqué sa présidente, Dana Ades-Landy, en entrevue à FI.TV.
FEMMES ET SERVICES FINANCIERS – Si une de vos clientes vous apprend qu'elle est enceinte, une planification s'impose, car cette nouvelle peut avoir un impact sur sa retraite.
FEMMES ET SERVICES FINANCIERS – Votre cliente attend un enfant? Après l'avoir félicitée, recommandez-lui d'épargner pour préparer sa baisse de revenu durant son congé, mais aussi afin d'éviter qu'elle reçoive une facture fiscale salée l'année suivante, selon une spécialiste en fiscalité.
FEMMES ET SERVICES FINANCIERS – Au bas mot, un bébé coûtera entre 5000 et 10 000 $ à ses parents durant sa première année de vie, et ce, sans compter les réductions de salaire entraînées par le congé de maternité et le congé parental.
FEMMES ET SERVICES FINANCIERS - Dans le passé, la richesse était traditionnellement entre les mains des hommes. Les choses semblent toutefois changer puisque les femmes, qu'elles soient divorcées, retraitées ou jeunes professionnelles, forment une clientèle en émergence dans les services financiers.
FEMMES ET SERVICES FINANCIERS - Les femmes sont de plus en plus riches et constituent un marché en forte croissance, mais pour les atteindre, l’industrie financière doit changer son discours.
Tranquillement et sûrement, les femmes se taillent une place dans l'industrie financière. En 2012, 62 % des personnes qui y oeuvraient étaient de sexe féminin, selon Statistique Canada.Cependant, en dépit de cette percée, la gent féminine a de la difficulté à gravir les échelons. Elle n'occupe que 17 % des postes de vice-présidence et 10 % des postes liés à la direction générale des entreprises de services financiers, indique le même organisme fédéral.
Depuis son lancement en 2002, l'Association des femmes en finance du Québec (AFFQ) a connu une belle croissance. Ses effectifs sont passés de 50 à l'époque à quelque 400 aujourd'hui.En même temps, son rayonnement s'est propagé. L'Association, depuis ses débuts une ramification de la prestigieuse Financial Women's Association de New York, a formé en 2004 un partenariat avec Women In The Lead-Femmes de tête, un organisme qui aide les femmes à décrocher des postes de haut niveau, et s'est associée en 2007 à Women at the Top, qui rassemble des femmes occupant des postes de haut niveau et décisionnels au Canada.
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